Introduction ou auto flagellation stylistique
Raskohol, notre héros, mon héros au moins et je l’espère ton héros bientôt, a, ça peut surprendre, un passé, une vie, 24 ans, qui vont vous être racontés dans ce blog.
Petite parenthèse de l’auteur (ça commence bien pour une narration, ce con prétentieux qui veut me faire lire, m’interrompt après une phrase) : mes seules œuvres avec texte sont des rédactions ou des résumés de roman datant de mes années collèges, des dissertations de philosophie, de français ou d’histoire géographie pendant le lycée, des rapports de projets, des mémoires de masters pendant mes études de mathématiques, bref que du préformaté. Je te réclamerai donc un peu d’indulgence pour mon style que l’on pourrait qualifier d’approximatif, pas mal d’effort pour comprendre des textes dont les enchaînements laisseront sans doute des interrogations du genre « Mais pourquoi il parle de ça ? » et un max de persévérance avant d’en arriver à une écriture plus fluide, attirante et plaisante, et à des idées plus intéressantes et originales.
« Putain en plus d’être prétentieux en se faisant passer pour un auteur, il est exigent ce con là !!! » Oh comme tu as raison Nikov !
Oh, je prends de la place dans ma parenthèse pour te prévenir, Toi mon lecteur à moi, que tout au long des aventures de Raskohol, je t’appellerai par ce nom : Nikov. Avis aux amateurs du grand Fédor Dostoïevski et d’alcool.
Je me suis permis cet aparté car dans ma première phrase, je trouve déjà de la lourdeur. Si si Nikov va voir. Le « ça peut surprendre », qui se veut drôle et très second degré est tout simplement pathétique ici.
En fait j’irai plus loin en disant que ma phrase introductrice est prétexte à toute cette parenthèse.
Fin de la parenthèse et du post.